Post by stephmartin on Dec 9, 2005 18:23:49 GMT 1
-Malgré deux premières décorations un peu trop tape à l’œil à mon goût, cette Renault Ninco est dotée d’une belle « g… » : moderne et agressive. C’est certes un peu plus « plastique » qu’une Fly ou une Slot-it mais cette voiture devrait plaire aux amateurs de saloon-cars « dévergondées »...
-Voiture à l’architecture identique aux JGTC de la même marque : moteur disposé en « anglewinder », châssis très bas sur la piste grâce , entre autres, à un guide « entrant » dans le châssis, voiture légère (carrosserie à 23 grammes et voiture complète légèrement au dessus des 80 grammes malgré le « gros » moteur NC5). Le triangle roues avant - guide est identique. La voiture est toutefois plus étroite (59 mm au train arrière) que les GT japonaises. En revanche, elle est quasi de la même hauteur et son empattement se révèle… (un poil) supérieur... Bon point également : un débattement réduit du train avant, ce qui devrait l’empêcher de trop « plonger » de l’avant dans les courbes.
-Première prise en main sur une piste Ninco. J’enlève l’aimant et je dévisse très légèrement la carrosserie (fixée par 4 vis, ce qui ne facilite pas le flottement de la carrosserie). Premières impressions favorables : l’avant tient très bien dans la rainure et le train antérieur assume bien son rôle. Sur la piste Ninco, la tenue de route générale est assez impressionnante avec juste ce qu’il faut de dérobade du train arrière pour rendre la voiture à la fois efficace et agréable. Le moteur "coupleux" et la légèreté de la voiture procurent de belles accélérations (ici en 13,8 volts), un comportement vif et de bons freinages. Bref, avec pourtant une voiture pratiquement « sortie de boite », on retrouve l’efficacité de bon nombre de Ninco sans aimant. Pour l’instant, le bruit de la transmission (un défaut encore assez récurent et désagréable sur les « anglewinder ») demeure relativement acceptable même si mon exemplaire émet un bruit de transmission un peu plus prononcé en appui dans les courbes à gauche....
-Si certes tout cela demeure évidemment à vérifier sur d’autres types de pistes, on semble manifestement en présence d’un engin offrant un bon compromis présentation – performances – facilité de préparation…
-Ainsi, une fois décliné en décorations suffisamment variées, cet engin devrait sans doute constituer une bonne base pour, entre autres, les clubs désireux de proposer à leur menu une compétition avec des voitures efficaces sans trop de préparation.
-Comme bon nombre d'autres Ninco, il s'agit également d'une voiture à recommander pour le "grand public" tant elle semble saine dès sa sortie de boite - et ce y compris et même surtout sans aimant.
-Voiture à l’architecture identique aux JGTC de la même marque : moteur disposé en « anglewinder », châssis très bas sur la piste grâce , entre autres, à un guide « entrant » dans le châssis, voiture légère (carrosserie à 23 grammes et voiture complète légèrement au dessus des 80 grammes malgré le « gros » moteur NC5). Le triangle roues avant - guide est identique. La voiture est toutefois plus étroite (59 mm au train arrière) que les GT japonaises. En revanche, elle est quasi de la même hauteur et son empattement se révèle… (un poil) supérieur... Bon point également : un débattement réduit du train avant, ce qui devrait l’empêcher de trop « plonger » de l’avant dans les courbes.
-Première prise en main sur une piste Ninco. J’enlève l’aimant et je dévisse très légèrement la carrosserie (fixée par 4 vis, ce qui ne facilite pas le flottement de la carrosserie). Premières impressions favorables : l’avant tient très bien dans la rainure et le train antérieur assume bien son rôle. Sur la piste Ninco, la tenue de route générale est assez impressionnante avec juste ce qu’il faut de dérobade du train arrière pour rendre la voiture à la fois efficace et agréable. Le moteur "coupleux" et la légèreté de la voiture procurent de belles accélérations (ici en 13,8 volts), un comportement vif et de bons freinages. Bref, avec pourtant une voiture pratiquement « sortie de boite », on retrouve l’efficacité de bon nombre de Ninco sans aimant. Pour l’instant, le bruit de la transmission (un défaut encore assez récurent et désagréable sur les « anglewinder ») demeure relativement acceptable même si mon exemplaire émet un bruit de transmission un peu plus prononcé en appui dans les courbes à gauche....
-Si certes tout cela demeure évidemment à vérifier sur d’autres types de pistes, on semble manifestement en présence d’un engin offrant un bon compromis présentation – performances – facilité de préparation…
-Ainsi, une fois décliné en décorations suffisamment variées, cet engin devrait sans doute constituer une bonne base pour, entre autres, les clubs désireux de proposer à leur menu une compétition avec des voitures efficaces sans trop de préparation.
-Comme bon nombre d'autres Ninco, il s'agit également d'une voiture à recommander pour le "grand public" tant elle semble saine dès sa sortie de boite - et ce y compris et même surtout sans aimant.