Post by stephmartin on Aug 10, 2006 12:38:50 GMT 1
On continue le petit tour des conclusions concernant ce rallye...
Côté organisation, bilan encore positif cette année avec un nouveau « sans faute » technique. Seuls petits bémols, un compte-tours planté lors de la toute première ES des deux premiers concurrents mais problème, heureusement, résolu rapidement ainsi que semble t’il de petites irrégularités dans la tension électrique de la 6e ES de la boucle (transfo ?).
Côté décor, l’acquisition d’un peu de matériel supplémentaire nous a permis de proposer plusieurs ES mieux présentées. Petit coup de cœur perso pour l’ES « neige » avec son tapis-feutre blanc. Bien aussi, l’ES « terre » avec son look Amérique profonde. Plus classique en décor mais encore réussie la dernière ES de la boucle.
Pour l’avenir, il serait toutefois intéressant de pouvoir disposer de plaques ou boîtiers standardisés intégrant les connexions et la prise poignée en un ensemble plus harmonieux que les grappes de fils certes fiables mais peu harmonieuses actuellement vues.
Le timing semble également « al dente ». Il est en effet préférable de donner une certaine marge pour que les concurrents puissent disputer leurs ES sans stress inutile. Le raccourcissement de la durée de « l’assistance » en fin de boucle (4 minutes au lieu de 10 en 2005) est également apparu approprié. Il y a d’ailleurs certains concurrents qui ont frôlé la « correctionnelle » en se lançant dans de grosses retouches sur leurs voitures entre deux boucles…
Cela dit, au risque de se répéter, ce timing encore valable pour une vingtaine d’inscrits deviendrait vite problématique en cas d’affluence plus importante à moins que d’accepter de finir plus tard et/ou de commencer plus tôt…
Diverses solutions de rechange existent toutefois : raccourcir quelque peu les reconnaissances quitte à mieux les encadrer (deux groupes séparés reconnaissent les ES chacun à leur tour plutôt que de lancer tous les pilotes ensemble), limiter les « regroupements » (il n’y en a eu qu’un cette année contre deux l’an dernier – NB : le regroupement permet de mettre ensemble les pilotes cote à cote au classement général), mieux remplir les ES dès le départ (d’emblée 12 concurrents répartis en 6 ES plutôt que de remplir peu à peu les ES), ne fut-ce que durant un prologue permettant de reclasser par après les concurrents dans l’ordre de leurs performances, constituer des groupes de 3 concurrents au lieu de 2 avec un temps imparti légèrement plus compressé, etc…
Par rapport à l’an dernier, où toutes les ES se disputaient selon la formule « comptabilisation du seul meilleur tour accompli durant une minute », il a été cette fois introduit une ES où les concurrents étaient chronométrés sur le temps mis pour accomplir 4 tours du parcours. Pour éviter que cette ES ne prenne une trop grande importance par rapport aux autres, le temps total obtenu était toutefois divisé par 4. Cette première expérience s’est révélée positive et l’épreuve a bel et bien joué un rôle sélectif sans toutefois prendre une importance disproportionnée par rapport aux 5 autres ES. A l’avenir, il semble bien qu’une deuxième voire (plus éventuellement) troisième ES pourrait être comptabilisée sur le même mode de chronométrage tout en gardant 3 ou 4 ES mettant elles avant tout en évidence l’attaque pure sans la crainte de la sortie de piste fatale…
Sans pour autant devoir transformer les rallyes en « usines à gaz » incluant des modes de chronométrage trop variés et alambiqués, il existe encore diverses autres variantes possibles. Ainsi, si le rallye à « parcours entièrement secret » (on monte les ES et les concurrents n’ont droit à aucune reconnaissance) est difficilement possible (les personnes ayant monté les ES ne pourraient pas participer à l’épreuve, il n’y aurait plus aucun moyen d’au moins tester sa voiture sur un parcours rallye avant le vrai départ, etc…), en revanche, on peut imaginer la mise en place d’une seule ES à parcours secret. Les concurrents peuvent reconnaître 5 ES (et y régler leur voiture…) mais la 6e ES (assemblée par une seule personne non-concurrente) demeurerait elle recouverte d’un drap jusqu’au moment du départ… Parmi d’autres options, il y a bien entendu celle du rallye partiellement ou totalement nocturne avec systèmes d’éclairages dans les voitures ou encore celle consistant en la mise en place d’un « gros » rallye s’étalant sur une longue journée avec une première étape diurne suivie d’une étape (éventuellement nocturne…)
Mais avant de verser dans la mégalomanie, n’oublions toutefois pas que s’ils se sont encore déroulés dans la bonne humeur et sans (trop de...) stress inutile, le montage et le démontage des ES, du décor et des divers aménagements périphériques (bar, direction de course, tables techniques, etc…) demeurent des opérations non négligeables et ce surtout lorsqu’on songe que ces installations ne sont assemblées que pour une seule journée de compétition. D’où le projet (certes ici encore bien éventuel…) pour 2007 de rentabiliser ces phases de montage et de démontage en profitant de la disponibilité de plusieurs locaux supplémentaires durant les congés scolaires estivaux pour monter au moins 3 ou 4 ES « à l’avance » (et avec un décor plus élaboré) et qui demeureraient assemblées durant tout l’été. Il ne resterait alors « plus qu’à » monter deux ou trois ES supplémentaires (celle-ci moins richement décorées) lors de chacun des trois ou (moins probablement…) quatre rallyes qui pourraient être organisés au sein d’un challenge « estival »…
Bien évidemment, les clubs disposant d’installations plus permanentes pourraient elles aussi envisager la mise en place de ce genre d’épreuves. Je ne saurais d’ailleurs que trop encourager les responsables de clubs disposant de telles installations et bien entendu d’un noyau de compétiteurs motivés par ce type d’épreuve à réserver un espace (praticable…) pour ce genre de compétition encore peu vue de par chez nous et suscitant pourtant un réel engouement à chaque rendez-vous…
Côté organisation, bilan encore positif cette année avec un nouveau « sans faute » technique. Seuls petits bémols, un compte-tours planté lors de la toute première ES des deux premiers concurrents mais problème, heureusement, résolu rapidement ainsi que semble t’il de petites irrégularités dans la tension électrique de la 6e ES de la boucle (transfo ?).
Côté décor, l’acquisition d’un peu de matériel supplémentaire nous a permis de proposer plusieurs ES mieux présentées. Petit coup de cœur perso pour l’ES « neige » avec son tapis-feutre blanc. Bien aussi, l’ES « terre » avec son look Amérique profonde. Plus classique en décor mais encore réussie la dernière ES de la boucle.
Pour l’avenir, il serait toutefois intéressant de pouvoir disposer de plaques ou boîtiers standardisés intégrant les connexions et la prise poignée en un ensemble plus harmonieux que les grappes de fils certes fiables mais peu harmonieuses actuellement vues.
Le timing semble également « al dente ». Il est en effet préférable de donner une certaine marge pour que les concurrents puissent disputer leurs ES sans stress inutile. Le raccourcissement de la durée de « l’assistance » en fin de boucle (4 minutes au lieu de 10 en 2005) est également apparu approprié. Il y a d’ailleurs certains concurrents qui ont frôlé la « correctionnelle » en se lançant dans de grosses retouches sur leurs voitures entre deux boucles…
Cela dit, au risque de se répéter, ce timing encore valable pour une vingtaine d’inscrits deviendrait vite problématique en cas d’affluence plus importante à moins que d’accepter de finir plus tard et/ou de commencer plus tôt…
Diverses solutions de rechange existent toutefois : raccourcir quelque peu les reconnaissances quitte à mieux les encadrer (deux groupes séparés reconnaissent les ES chacun à leur tour plutôt que de lancer tous les pilotes ensemble), limiter les « regroupements » (il n’y en a eu qu’un cette année contre deux l’an dernier – NB : le regroupement permet de mettre ensemble les pilotes cote à cote au classement général), mieux remplir les ES dès le départ (d’emblée 12 concurrents répartis en 6 ES plutôt que de remplir peu à peu les ES), ne fut-ce que durant un prologue permettant de reclasser par après les concurrents dans l’ordre de leurs performances, constituer des groupes de 3 concurrents au lieu de 2 avec un temps imparti légèrement plus compressé, etc…
Par rapport à l’an dernier, où toutes les ES se disputaient selon la formule « comptabilisation du seul meilleur tour accompli durant une minute », il a été cette fois introduit une ES où les concurrents étaient chronométrés sur le temps mis pour accomplir 4 tours du parcours. Pour éviter que cette ES ne prenne une trop grande importance par rapport aux autres, le temps total obtenu était toutefois divisé par 4. Cette première expérience s’est révélée positive et l’épreuve a bel et bien joué un rôle sélectif sans toutefois prendre une importance disproportionnée par rapport aux 5 autres ES. A l’avenir, il semble bien qu’une deuxième voire (plus éventuellement) troisième ES pourrait être comptabilisée sur le même mode de chronométrage tout en gardant 3 ou 4 ES mettant elles avant tout en évidence l’attaque pure sans la crainte de la sortie de piste fatale…
Sans pour autant devoir transformer les rallyes en « usines à gaz » incluant des modes de chronométrage trop variés et alambiqués, il existe encore diverses autres variantes possibles. Ainsi, si le rallye à « parcours entièrement secret » (on monte les ES et les concurrents n’ont droit à aucune reconnaissance) est difficilement possible (les personnes ayant monté les ES ne pourraient pas participer à l’épreuve, il n’y aurait plus aucun moyen d’au moins tester sa voiture sur un parcours rallye avant le vrai départ, etc…), en revanche, on peut imaginer la mise en place d’une seule ES à parcours secret. Les concurrents peuvent reconnaître 5 ES (et y régler leur voiture…) mais la 6e ES (assemblée par une seule personne non-concurrente) demeurerait elle recouverte d’un drap jusqu’au moment du départ… Parmi d’autres options, il y a bien entendu celle du rallye partiellement ou totalement nocturne avec systèmes d’éclairages dans les voitures ou encore celle consistant en la mise en place d’un « gros » rallye s’étalant sur une longue journée avec une première étape diurne suivie d’une étape (éventuellement nocturne…)
Mais avant de verser dans la mégalomanie, n’oublions toutefois pas que s’ils se sont encore déroulés dans la bonne humeur et sans (trop de...) stress inutile, le montage et le démontage des ES, du décor et des divers aménagements périphériques (bar, direction de course, tables techniques, etc…) demeurent des opérations non négligeables et ce surtout lorsqu’on songe que ces installations ne sont assemblées que pour une seule journée de compétition. D’où le projet (certes ici encore bien éventuel…) pour 2007 de rentabiliser ces phases de montage et de démontage en profitant de la disponibilité de plusieurs locaux supplémentaires durant les congés scolaires estivaux pour monter au moins 3 ou 4 ES « à l’avance » (et avec un décor plus élaboré) et qui demeureraient assemblées durant tout l’été. Il ne resterait alors « plus qu’à » monter deux ou trois ES supplémentaires (celle-ci moins richement décorées) lors de chacun des trois ou (moins probablement…) quatre rallyes qui pourraient être organisés au sein d’un challenge « estival »…
Bien évidemment, les clubs disposant d’installations plus permanentes pourraient elles aussi envisager la mise en place de ce genre d’épreuves. Je ne saurais d’ailleurs que trop encourager les responsables de clubs disposant de telles installations et bien entendu d’un noyau de compétiteurs motivés par ce type d’épreuve à réserver un espace (praticable…) pour ce genre de compétition encore peu vue de par chez nous et suscitant pourtant un réel engouement à chaque rendez-vous…