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Post by Yves Welter Sr. on Apr 7, 2005 7:44:26 GMT 1
Pour les 24h de Paris il reste une place de libre dans le cadre des équipes Inter. Avis aux amateurs! Prenez contact le plus rapidement avec le coordinateur de l'Euro 24h Championship 2005 via: carrera-slot-racing@skynet.be date limite le 15 Avril 2005. Alors à vos PC
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Post by Yves Welter Sr. on Apr 29, 2005 15:33:54 GMT 1
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Post by Yves Welter Sr. on May 15, 2005 23:10:15 GMT 1
Voici les résultats des 24h de Paris.
1: Davic (SCIF) 2:Vaillante(SCIF) 3:Vanos Motorsport 8:Squash 9:Mondialtec 10: ERMS 11:LFE Racing 12:TDS Racing 13:Autobahn Racing 14:C24S 15:NCPC
Plus d'infos dans le courant de la soirée.
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JeanLuc De Bruyne CSNamur
Guest
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Post by JeanLuc De Bruyne CSNamur on May 16, 2005 9:49:42 GMT 1
Mais où est donc l'équipe belge de mon pote "Greg" ? J'ai enquêté et j'ai trouvé d'autres infos Bon, en recoupant les infos de François et les miennes, sous réserve d'erreur de classement, cela donne ça : 01 - Davic (SCIF) 02 - Vaillante (SCIF) 03 - Vanos Motorsport 04 - Hexagone 05 - SRCB 06 - Delta One (SCIF) 07 - BSR - Parking Sud 08 - Squash 09 - Mondialtec 10 - ERMS, équipe austro-allemande, 1er prix de décoration, prix du fair-play 11 - LFE Racing (Rennes), prix de la première équipe débutante au Chesnay 12 - TDS Racing et on applaudit bien fort, merci !!! 13 - AutoBahn 14 - C24S (Samois) 15 - NCPC (Neuvic)
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Post by stephmartin on May 16, 2005 10:14:09 GMT 1
Bravo Jean Luc, ça c'est du journalisme d'investigation...
Classement correct ...
Aussi bien aux qualifs qu'en course, cavalier seul de Davic qui, outre le talent et l'expérience des pilotes et de la préparation avait pu aussi tirer au sort un moteur très performant. D'autres équipes ont pu également tirer de très bons moteurs mais, hélas pour le suspens, aucune parmi les principaux challengers des favoris (Vaillante, Vanos, SRCB, ...). Derrière, lutte plus indécise entre 4 ou 5 équipes pour le podium. Et parmi elles, les deux équipes belges furent à nouveau bien dans le coup. Vanos a confirmé qu'elle demeurait la principale équipe favorite pour le titre européen malgré une voiture ici bien incapable de suivre le rythme des futurs vainqueurs du double tour d'horloge parisien. Davic se positionne en challenger principal à condition toutefois d'éviter tout faux pas puisqu'elle ne semble pas devoir être présente à Salsbourg. Après des essais libres et qualificatifs un peu mitigés (seulement 8e aux essais officiels), le SRCB s'est peu à peu hissé en haut du peloton avec un équipage régulier et une voiture ... fiable. Au (tout) petit matin, nous étions ainsi bien installés à la 2e place lorsque un châssis cassé nous fit perdre près de 70 tours et pas moins de 6 places (oui, oui, les écarts étaient assez faibles à partir de la deuxième place...). Nous allions pouvoir remonter pour espérer réoccuper le podium, lorsqu'un fil de guide cassé nous fit perdre une bonne vingtaine de tours supplémentaires... On retombait alors 6e à trois ou quatre heures de l'arrivée. Un dernier rush de Greg nous redonna la cinquième place et nous fit échouer à 10 tours de la quatrième place.
Nous avons dû effectuer trois arrêts aux stands (un pemier arrêt nous avait déjà coûté une trentaine de tours en début de soirée). Outre les problèmes à résoudre qui nous ont pénalisé, on a également à chaque fois éprouvé bien des difficultés pour... refermer notre Lola Fly. En effet, dès les essais libres, nous avons constaté qu'avec tout son "attirail Davic" et la fiche technique spécifique à la Lola qui, entre autres, interdisait qu'on touche à l'habitacle d'origine, il était impossible de refermer cette voiture sans que le châssis ne "baille" - ne fut ce qu'un peu - par rapport au châssis... Je pense que la fiche technique de cette voiture - datant de l'an dernier- n'a peut être pas été ajustée pour inclure le fait que depuis cette année les puces Davic sont désormais équipées d'un petit accessoire supplémentaire (accumulateur, condensateur, petite pile ?) qui pose manifestement problème pour être inséré dans l'intérieur confiné de certains protos-barquettes. Bref, au Chesnay, il nous a fallu à chaque arrêt inclure l'équivalent d'une bonne vingtaine de tours rien que pour refermer correctement la Lola et obtenir un ensemble châssis-carrosserie suffisamment "roulable"...
Et ici, d'en profiter pour tout de même quelque peu "égratigner" un réglement technique parisien reposant sur des fiches techniques spécifiques à chaque voiture homologuée et parfois bien ténues à déchiffrer et à maitriser... tout au moins pour un non membre du club organisateur - le SCIF. Il suffit ainsi d'un paragraphe mal interprêté ou mal lu pour se retrouver avec une préparation inadaptée ou incomplète. Et de déplorer également une certaine dérive consistant à admettre au départ des voitures franchement hybrides: la voiture victorieuse était ainsi un étrange alliage consistant à coupler une carrosserie et la partie ... avant d'un châssis de Dôme SCX avec une partie arrière complète de châssis Mc Laren... et sur laquelle on avait encore greffé l'extracteur de la Dôme... Bref, le genre d'engin qu'on imagine aisément sorti de l'imagination fertile d'un préparateur audacieux et pour lequel on semble avoir spécialement pondu une fiche d'homologation spécifique "après coup"... Même si je pense que la victoire de Davic est avant tout dûe au talent et à l'expérience des pilotes et de leur maitrise des courses "Davic" (assaisonnée d'un très bon moteur aussi...), je ne suis pas certain que ce genre de fiche technique "maison" soit encore tout à fait approprié à une compétition qui se veut internationale. Pour preuve, le principal responsable de l'équipe austro-allemande, présente ici dans l'optique du championnat d'Europe, nous a avoué avoir eu de très grosses difficultés à maitriser les multiples subtilités des nombreuses fiches tecniques de cette compétition parisienne. Pour preuve également, l'absence d'équipes étrangères qui ont "coincé" sur le réglement technique parisien.
Pour le reste, très beau succès populaire de l'épreuve parisienne: les abords de la piste étaient gavés de monde durant les premières heures de course. La presse était également présente "en masse": les nouveaux magazines français dédiés au Hobby (RCM et Slot Buzz) mais également une équipe de M6. Il semble d'ailleurs qu'un changement de salle soit dors et déjà envisagé pour l'an prochain afin de mieux accueillir les équipes et le public. Bref, il se confirme que le hobby semble connaitre un véritable coup de "boost" cette année... A nous tous d'être en mesure de bien le canaliser... Il faudra aussi que le club organisateur puisse bien maitriser le succès de son épreuve. On a dû ainsi déplorer quelques problèmes avec la gestion des compte-tours ayant entrainé plusieurs neutralisations mais également avec une piste dont certaines voies étaient devenues sous-alimentées à partir de la mi-course rendant ainsi les dépassements franchement très problématiques et l'ambiance assez crispée pour ceux qui demeuraient impuissants derrière des concurrents rivés - et c'est bien normal- sur la piste la plus rapider... Heureusement, un nettoyage des pistes fautives en milieu de matinée a pu améliorer les choses et redonner tout son attrait au système Davic... N'oublions toutefois pas l'essentiel: le SCIF et les 24 heures du Chesnay demeurent le berceau des épreuves avec le système "Davic". Les organisateurs de cette épreuve effectuent chaque année un travail fantastique. Et le succès de cette épreuve a pu en moins de deux ans faire figure d'exemple et - avec également le relais non négligeable de passionnés tels que Yves Welter Sr et Grégoire Hans et la fidélité de quelques équipes (je pense ici ainsi à l'équipe austro-allemande omniprésente et hautement sympathique) - permis la mise sur pied de plusieurs compétitions similaires en Europe reliées entre elles par un championnat international.
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Post by Yves Welter Sr. on May 16, 2005 17:08:42 GMT 1
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Post by stephmartin on May 17, 2005 21:26:43 GMT 1
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