Post by stephmartin on May 24, 2004 17:27:15 GMT 1
Alors ces quelques interrogations
1)Pourquoi sanctionner de la même façon l’absence d’un seul adhésif (probablement disparu dans les circonstances détaillées ci-dessus) sur les 4 exigés et des voitures (même … légèrement) trop légères ?.
Est-ce que les raisons « plausibles » (je ne peux ici qu’invoquer ma bonne foi et appeler « à la barre » en guise de témoins de moralité ceux qui me connaissent depuis plus de 20 ans dans l’univers des petites scalex…) de cette absence ne méritaient pas à tout le moins des circonstances (très) atténuantes ?
3)Alors que 7 voitures se sont trouvées dépourvues de ces fameux adhésifs (et apparemment sur certaines d’entr’elles de l’intégralité de ces adhésifs…) et que 2 autres se sont avérées trop légères, pourquoi une seule d’entre elles s’est retrouvée sanctionnée ? (en effet, sur 5300 ou 6525 ou encore 7452 tours accomplis, les 100 tours infligés ne signifient strictement rien tant qu’ils n’entraînent aucune perte au classement – la seule mesure qui compte vraiment dans une course avec... classement). Bref, pour 8 des 9 équipes négligentes, cela s’est limité à un « avertissement sans frais » alors que pour la 9e à une place chèrement et régulièrement gagnée sur la piste… Si encore une fois, un réglement est fait pour être respecté et appliqué, en justice, il y a également un ...juge qui est censé interprêter la loi pour émettre un verdict juste et équitable. Au Chesnay, ce juge était le président-organisateur et il aurait dû effectivement réaliser ce travail d'interprétation pour émettre un verdict juste et équitable
4)Comment justifier – autrement que par un hasard arithmétique - qu’une équipe (et une seule d’ailleurs parmi les quelques unes jugées conformes…) ait pu « bénéficier » de la négligence d’une autre équipe. Si l’équipe « fautive » avait utilisé des moyens illégaux lui permettant de prendre un avantage en performance face à ses adversaires, on pourrait en effet envisager qu’en guise de « réparation » le ou les équipes lésées récupère la place indûment occupée par l’équipe fautive. Mais dans ce cas bien précis, en quoi l’absence d’un adhésif aurait il pu priver une autre équipe de la place occupée par l’équipe « négligente » ? Que l’on ne se méprenne pas sur mes propos. Je ne m’exprime nullement ici en mauvais perdant. J’aurais réagi (entre autres, absence sur le podium – comme l’ont d’ailleurs fait par solidarité Grégoire Hans et Igor Masse) et écrit strictement ce même texte pour prendre la défense de n’importe quelle autre équipe présente au Chesnay sur laquelle serait tombée une sanction pour le moins aussi « hasardeuse » (en fonction du classement et des écarts, cette sanction aurait pu en effet « tomber » sur une ou plusieurs autres équipes).
Je profite également de cette (très longue, j’en conviens), plaidoirie (que je n’ai pas eu le courage d’ébaucher de vive voix ce dimanche après midi au Chesnay – éffaré par la nature de la pénalité et les raisons qui l’ont justifiées mais aussi assommé de fatigue après plus de 36 heures sans une seule minute de sommeil) pour insister sur le fait que la nature pour le moins « hasardeuse » de ces sanctions aurait pu déboucher sur un résultat comparable en retentissement (tout au moins au sein du petit milieu de notre hobby…)au déclassement des Mini au Rallye de Monte Carlo 1966. En effet, imaginez entre autres hypothèses plausibles, que l’équipe SRCB ait eu la présence d’esprit de (re)placer ces fameux adhésifs réglementaires, ne fut ce que quelques minutes avant l’arrivée. Sa conformité au contrôle technique lui aurait alors épargnée les 100 tours de pénalité et ainsi propulsée à la première place de ces 24 heures en profitant des 100 tours de pénalité par ailleurs eux encore bel et bien infligés aux 2 voitures de tête pour les quelques dixièmes de grammes manquant. Imaginez ne fut-ce que quelques secondes l’amertume des vainqueurs « sur la piste », tel un JJ Huguenin, privé d’une dixième victoire pourtant pleinement et méritoirement gagnée sur la piste et obligé de remiser ses deux bouteilles de champagne pour ces quelques dixièmes de grammes manquant (encore que probablement – plus susceptibles de procurer un avantage – ô certes probablement bien léger – sur la piste qu’un adhésif), j’espère que vous comprendrez alors un peu mieux que ce qui a peut être paru pour l'assemblée présente à l'arrivée des 24 heures une bouderie de mauvais perdant fut bel et bien pour nous une véritable déception teintée d’amertume alors que quelques minutes auparavant, pourtant vidés par l’absence de sommeil et la tension d’une telle course, nous étions à ce moment la bien précis encore tout simplement contents d’un week-end et d’une quatrième place, événement certes bien dérisoire dans une existence et ne méritant peut être pas l’interminable texte ci-dessus mais qui, à chaud, sur le coup de 15 heures et après une « journée de 35 heures », nous a fait bien mais trop brièvement plaisir avant que le « ciel nous tombe sur la tête
1)Pourquoi sanctionner de la même façon l’absence d’un seul adhésif (probablement disparu dans les circonstances détaillées ci-dessus) sur les 4 exigés et des voitures (même … légèrement) trop légères ?.
Est-ce que les raisons « plausibles » (je ne peux ici qu’invoquer ma bonne foi et appeler « à la barre » en guise de témoins de moralité ceux qui me connaissent depuis plus de 20 ans dans l’univers des petites scalex…) de cette absence ne méritaient pas à tout le moins des circonstances (très) atténuantes ?
3)Alors que 7 voitures se sont trouvées dépourvues de ces fameux adhésifs (et apparemment sur certaines d’entr’elles de l’intégralité de ces adhésifs…) et que 2 autres se sont avérées trop légères, pourquoi une seule d’entre elles s’est retrouvée sanctionnée ? (en effet, sur 5300 ou 6525 ou encore 7452 tours accomplis, les 100 tours infligés ne signifient strictement rien tant qu’ils n’entraînent aucune perte au classement – la seule mesure qui compte vraiment dans une course avec... classement). Bref, pour 8 des 9 équipes négligentes, cela s’est limité à un « avertissement sans frais » alors que pour la 9e à une place chèrement et régulièrement gagnée sur la piste… Si encore une fois, un réglement est fait pour être respecté et appliqué, en justice, il y a également un ...juge qui est censé interprêter la loi pour émettre un verdict juste et équitable. Au Chesnay, ce juge était le président-organisateur et il aurait dû effectivement réaliser ce travail d'interprétation pour émettre un verdict juste et équitable
4)Comment justifier – autrement que par un hasard arithmétique - qu’une équipe (et une seule d’ailleurs parmi les quelques unes jugées conformes…) ait pu « bénéficier » de la négligence d’une autre équipe. Si l’équipe « fautive » avait utilisé des moyens illégaux lui permettant de prendre un avantage en performance face à ses adversaires, on pourrait en effet envisager qu’en guise de « réparation » le ou les équipes lésées récupère la place indûment occupée par l’équipe fautive. Mais dans ce cas bien précis, en quoi l’absence d’un adhésif aurait il pu priver une autre équipe de la place occupée par l’équipe « négligente » ? Que l’on ne se méprenne pas sur mes propos. Je ne m’exprime nullement ici en mauvais perdant. J’aurais réagi (entre autres, absence sur le podium – comme l’ont d’ailleurs fait par solidarité Grégoire Hans et Igor Masse) et écrit strictement ce même texte pour prendre la défense de n’importe quelle autre équipe présente au Chesnay sur laquelle serait tombée une sanction pour le moins aussi « hasardeuse » (en fonction du classement et des écarts, cette sanction aurait pu en effet « tomber » sur une ou plusieurs autres équipes).
Je profite également de cette (très longue, j’en conviens), plaidoirie (que je n’ai pas eu le courage d’ébaucher de vive voix ce dimanche après midi au Chesnay – éffaré par la nature de la pénalité et les raisons qui l’ont justifiées mais aussi assommé de fatigue après plus de 36 heures sans une seule minute de sommeil) pour insister sur le fait que la nature pour le moins « hasardeuse » de ces sanctions aurait pu déboucher sur un résultat comparable en retentissement (tout au moins au sein du petit milieu de notre hobby…)au déclassement des Mini au Rallye de Monte Carlo 1966. En effet, imaginez entre autres hypothèses plausibles, que l’équipe SRCB ait eu la présence d’esprit de (re)placer ces fameux adhésifs réglementaires, ne fut ce que quelques minutes avant l’arrivée. Sa conformité au contrôle technique lui aurait alors épargnée les 100 tours de pénalité et ainsi propulsée à la première place de ces 24 heures en profitant des 100 tours de pénalité par ailleurs eux encore bel et bien infligés aux 2 voitures de tête pour les quelques dixièmes de grammes manquant. Imaginez ne fut-ce que quelques secondes l’amertume des vainqueurs « sur la piste », tel un JJ Huguenin, privé d’une dixième victoire pourtant pleinement et méritoirement gagnée sur la piste et obligé de remiser ses deux bouteilles de champagne pour ces quelques dixièmes de grammes manquant (encore que probablement – plus susceptibles de procurer un avantage – ô certes probablement bien léger – sur la piste qu’un adhésif), j’espère que vous comprendrez alors un peu mieux que ce qui a peut être paru pour l'assemblée présente à l'arrivée des 24 heures une bouderie de mauvais perdant fut bel et bien pour nous une véritable déception teintée d’amertume alors que quelques minutes auparavant, pourtant vidés par l’absence de sommeil et la tension d’une telle course, nous étions à ce moment la bien précis encore tout simplement contents d’un week-end et d’une quatrième place, événement certes bien dérisoire dans une existence et ne méritant peut être pas l’interminable texte ci-dessus mais qui, à chaud, sur le coup de 15 heures et après une « journée de 35 heures », nous a fait bien mais trop brièvement plaisir avant que le « ciel nous tombe sur la tête