Post by stephmartin on Oct 18, 2004 13:34:53 GMT 1
Ce week-end a en fait déjà débuté ... mercredi dernier avec une première présence au BSC ("ouverture" et tenue du local assurée à tour de rôle par les équipes Trophy). Retour au bercail à 1 heure du matin.
Jeudi, course club à Ecaussinnes avec un retour à la maison vers 2 heures du matin.
Vendredi: déplacement vers Wezembeek-Oppem pour (tenter d'...) essayer la voiture avec laquelle, en compagnie, entre autres d'Hubert et du Jamme, je dois rouler aux 24 heures de Wezembeek-Oppem (slot racing GP12). Retour à la maison vers 1 heure du matin.
Samedi, à partir de 10 heures: 5e manche du Trophy au BSC pour lequel je fais une "pige" au sein de l'équipe en tête du championnat (René VDB, Thierry Denis, Alain Hannevart). Mission accomplie puisque avec la belle deuxième place obtenue par l'équipe, cette dernière permet au trio cité ci-dessus de remporter le titre. La voiture utilisée était une Porsche 908 très agréable à piloter. L'épreuve était effectivement réservée à des Fly Classic équipées de trains roulants slot-it et d'un axe fixe à l'avant. Cette combinaison produit des voitures agréables à piloter et plutôt faciles à assembler et à mettre au point.
Samedi, 18 heures, transfert vers Wezembeek-Oppem pour les 24 heures. Comme il s'agissait peut être de la dernière édition de ces 24 heures crées du côté de Chimay en 1989 et comme, jusque l'an dernier, je m'étais contenté de faire la direction de course sans jamais participer à l'épreuve côté piste, je me suis laisser convaincre, en outre d'effectuer un peu de direction de course au coeur de la nuit pour permettre au "vrai" (Hubert Fornoville) directeur de course de récupérer, de mettre un doigt sur la gâchette de ces bolides très performants. Ici, en toute franchise, et avec tout mon respect pour ceux qui pratiquent cette discipline, sensations plus décevantes. Tout d'abord, l'absence d'essais libres le vendredi (voiture pas encore prête) m'a obligé à découvrir et la piste et ces bolides en ... pleine course au milieu des cadors belges, français et anglais (au demeurant très corrects et sympas). La prise en main ne fut effectivement pas facile sur ces bolides avalant les 35 mètres de piste en un peu plus de 4 secondes. Ces voitures manquent surtout de progressivité et ont (ou alors seulement la notre ?) la désagréable manie de sortir de l'avant. J'ose toutefois espérer qu'il n'en est pas toujours ainsi... Bref, en toute sincérité, expérience assez mitigée sauf à l'occasion de 2 ou 3 quart d'heure durant lesquels je n'avais pas trop l'impression de "subir". Merci toutefois à ceux qui m'ont fait goûter à cette expérience.
Retour dimanche après midi et (tiens donc...) grosse fatigue... Et les semaines de désormais (un peu trop) systématiquement s'enchainer au même rythme... Du tri va devoir tôt ou tard s'imposer à moi...
Jeudi, course club à Ecaussinnes avec un retour à la maison vers 2 heures du matin.
Vendredi: déplacement vers Wezembeek-Oppem pour (tenter d'...) essayer la voiture avec laquelle, en compagnie, entre autres d'Hubert et du Jamme, je dois rouler aux 24 heures de Wezembeek-Oppem (slot racing GP12). Retour à la maison vers 1 heure du matin.
Samedi, à partir de 10 heures: 5e manche du Trophy au BSC pour lequel je fais une "pige" au sein de l'équipe en tête du championnat (René VDB, Thierry Denis, Alain Hannevart). Mission accomplie puisque avec la belle deuxième place obtenue par l'équipe, cette dernière permet au trio cité ci-dessus de remporter le titre. La voiture utilisée était une Porsche 908 très agréable à piloter. L'épreuve était effectivement réservée à des Fly Classic équipées de trains roulants slot-it et d'un axe fixe à l'avant. Cette combinaison produit des voitures agréables à piloter et plutôt faciles à assembler et à mettre au point.
Samedi, 18 heures, transfert vers Wezembeek-Oppem pour les 24 heures. Comme il s'agissait peut être de la dernière édition de ces 24 heures crées du côté de Chimay en 1989 et comme, jusque l'an dernier, je m'étais contenté de faire la direction de course sans jamais participer à l'épreuve côté piste, je me suis laisser convaincre, en outre d'effectuer un peu de direction de course au coeur de la nuit pour permettre au "vrai" (Hubert Fornoville) directeur de course de récupérer, de mettre un doigt sur la gâchette de ces bolides très performants. Ici, en toute franchise, et avec tout mon respect pour ceux qui pratiquent cette discipline, sensations plus décevantes. Tout d'abord, l'absence d'essais libres le vendredi (voiture pas encore prête) m'a obligé à découvrir et la piste et ces bolides en ... pleine course au milieu des cadors belges, français et anglais (au demeurant très corrects et sympas). La prise en main ne fut effectivement pas facile sur ces bolides avalant les 35 mètres de piste en un peu plus de 4 secondes. Ces voitures manquent surtout de progressivité et ont (ou alors seulement la notre ?) la désagréable manie de sortir de l'avant. J'ose toutefois espérer qu'il n'en est pas toujours ainsi... Bref, en toute sincérité, expérience assez mitigée sauf à l'occasion de 2 ou 3 quart d'heure durant lesquels je n'avais pas trop l'impression de "subir". Merci toutefois à ceux qui m'ont fait goûter à cette expérience.
Retour dimanche après midi et (tiens donc...) grosse fatigue... Et les semaines de désormais (un peu trop) systématiquement s'enchainer au même rythme... Du tri va devoir tôt ou tard s'imposer à moi...