Post by stephmartin on Oct 14, 2004 13:53:48 GMT 1
La compétition 2004 n’est pas encore terminée mais comme la saison 2005 commence à déjà se traiter un peu partout, je me permets de vous parler des quelques orientations que pourrait prendre la catégorie LMS32 pour l’an prochain.
Dans l’ensemble, les grandes lignes adoptées en 2004 devraient être maintenues : catégorie « transmarques » (ce qui doit assurer le renouvellement régulier du plateau sans toutefois démoder les voitures déjà présentes), poids minimum imposé à la carrosserie, moteur, pneus et trains roulants uniques, moteurs et pneus fournis dans les épreuves d’endurance.
Quant aux retouches envisagées :
-Admission du châssis HRS en complément des châssis d’origine des voitures homologuées (les concurrents auront donc la possibilité d’utiliser, au choix, le châssis d’origine de la voiture ou de le remplacer par un châssis HRS (avec position du moteur libre - in line ou sidewinder). Cette liberté doit faciliter la préparation de voitures dotées de caractéristiques de base plus « ingrates » (ex : Panoz fly à moteur avant, Bentley Carrera, certaines SCX ou Scalextric, …) que celles de certains bolides directement compétitifs (genre « super cars » et autres « evo rs »). Les concurrents peu désireux d’acheter une voiture rien que pour la carrosserie ou peu désireux de se lancer dans l’adaptation parfois un peu délicate d’une carrosserie sur un châssis HRS auront eux toujours la possibilité de disposer de voitures d’emblée compétitives sans trop de transformations (ex : Audi et Nissan slot-it , Porsche Evo RS Fly, etc…). Il est aussi également à noter que plusieurs fabricants commencent à vendre des carrosseries séparément.
-Possibilité de rouler avec des carrosseries « dévissées ». Cette liberté devrait éviter quelques situations quelque peu hypocrites (genre carrosserie flottant quand même sur le châssis même lorsque vissées à fond – ex : Porsche GT1 96 Fly, Toyota GT One Pro Slot) et devrait permettre à certaines voitures de retrouver un regain de compétitivité (ex : Porsche GT1 97 Fly). Il sera bien entendu permis de retoucher légèrement les carrosseries et les châssis pour faciliter le flottement de ces carrosseries (ex : supprimer les sorties d’échappement sur la Mercedes CLK Ninco)
-Du côté des pneus, les 24 heures de Namur mais aussi l’épreuve de Diepenbeek sur la piste Ninco devraient être intéressantes pour savoir s’il faut ou non envisager une alternative aux pneus slot-it. Il n’est pas forcément cherché des pneus plus compétitifs (les LMS32 le sont déjà assez sans cela…) mais éventuellement des pneus plus constants et s’usant moins rapidement. L’avantage des slot-it est qu’ils sont d’emblée efficaces sans aucune retouche dès leur sortie de sachet ce qui évite de devoir les rôder ou de devoir les « traiter ».
-Mise en place d’un championnat « préparateurs » et ce afin de motiver ceux qui souhaitent mettre en évidence leur talent d’assembleurs de voitures. A chaque épreuve, pour ce trophée, chaque préparateur pourrait ainsi comptabiliser les résultats de ses 2 voitures les mieux classées.
-Dans le même ordre d’idées, il pourrait être intéressant que certains préparateurs soient motivés pour proposer (et commercialiser ?) des voitures « RTR » (« ready to run ») afin que ceux qui ne souhaitent vraiment pas se pencher sur la préparation de telles voitures puissent d’emblée disposer de voitures directement compétitives et réglementaires.
Si de votre côté, vous avez quelques remarques et suggestions, n’hésitez pas à les communiquer, entre autres via l’adresse suivante : stemar@skynet.be
Dans l’ensemble, les grandes lignes adoptées en 2004 devraient être maintenues : catégorie « transmarques » (ce qui doit assurer le renouvellement régulier du plateau sans toutefois démoder les voitures déjà présentes), poids minimum imposé à la carrosserie, moteur, pneus et trains roulants uniques, moteurs et pneus fournis dans les épreuves d’endurance.
Quant aux retouches envisagées :
-Admission du châssis HRS en complément des châssis d’origine des voitures homologuées (les concurrents auront donc la possibilité d’utiliser, au choix, le châssis d’origine de la voiture ou de le remplacer par un châssis HRS (avec position du moteur libre - in line ou sidewinder). Cette liberté doit faciliter la préparation de voitures dotées de caractéristiques de base plus « ingrates » (ex : Panoz fly à moteur avant, Bentley Carrera, certaines SCX ou Scalextric, …) que celles de certains bolides directement compétitifs (genre « super cars » et autres « evo rs »). Les concurrents peu désireux d’acheter une voiture rien que pour la carrosserie ou peu désireux de se lancer dans l’adaptation parfois un peu délicate d’une carrosserie sur un châssis HRS auront eux toujours la possibilité de disposer de voitures d’emblée compétitives sans trop de transformations (ex : Audi et Nissan slot-it , Porsche Evo RS Fly, etc…). Il est aussi également à noter que plusieurs fabricants commencent à vendre des carrosseries séparément.
-Possibilité de rouler avec des carrosseries « dévissées ». Cette liberté devrait éviter quelques situations quelque peu hypocrites (genre carrosserie flottant quand même sur le châssis même lorsque vissées à fond – ex : Porsche GT1 96 Fly, Toyota GT One Pro Slot) et devrait permettre à certaines voitures de retrouver un regain de compétitivité (ex : Porsche GT1 97 Fly). Il sera bien entendu permis de retoucher légèrement les carrosseries et les châssis pour faciliter le flottement de ces carrosseries (ex : supprimer les sorties d’échappement sur la Mercedes CLK Ninco)
-Du côté des pneus, les 24 heures de Namur mais aussi l’épreuve de Diepenbeek sur la piste Ninco devraient être intéressantes pour savoir s’il faut ou non envisager une alternative aux pneus slot-it. Il n’est pas forcément cherché des pneus plus compétitifs (les LMS32 le sont déjà assez sans cela…) mais éventuellement des pneus plus constants et s’usant moins rapidement. L’avantage des slot-it est qu’ils sont d’emblée efficaces sans aucune retouche dès leur sortie de sachet ce qui évite de devoir les rôder ou de devoir les « traiter ».
-Mise en place d’un championnat « préparateurs » et ce afin de motiver ceux qui souhaitent mettre en évidence leur talent d’assembleurs de voitures. A chaque épreuve, pour ce trophée, chaque préparateur pourrait ainsi comptabiliser les résultats de ses 2 voitures les mieux classées.
-Dans le même ordre d’idées, il pourrait être intéressant que certains préparateurs soient motivés pour proposer (et commercialiser ?) des voitures « RTR » (« ready to run ») afin que ceux qui ne souhaitent vraiment pas se pencher sur la préparation de telles voitures puissent d’emblée disposer de voitures directement compétitives et réglementaires.
Si de votre côté, vous avez quelques remarques et suggestions, n’hésitez pas à les communiquer, entre autres via l’adresse suivante : stemar@skynet.be