Post by stephmartin on Jun 30, 2006 12:51:36 GMT 1
Pour notre part (SRCB), le bilan s'avère un peu mitigé ne fut ce que parce que nous terminons … dernier des équipes censées jouer le titre …
Comme la plupart des équipes nous avons été quelque peu et surtout déstabilisés par le grip des pneus. Une fois leur rodage terminé (après une bonne heure de course ?), ces pneus sont devenus hyper performants rendant dès lors les voitures « sous vireuses » (l’avant sortait trop facilement dans les divers virages serrés de cette piste), un cauchemar semble t’il pour beaucoup de concurrents présents (y compris plusieurs pilotes Davic pas trop à l’aise au milieu de la nuit ?) et pour moi-même plus particulièrement (j’ai horreur de ça car ça tue l’essentiel du plaisir du pilotage…). Mes deux premiers relais (dont le deuxième que j’ai préférer abréger après à peine 15 ou 20 minutes tellement c’était nul) furent ainsi pénibles et sans plaisir aucun. Après quatre heures de sommeil (une première pour moi dans un double tour d’horloge…), mon (cette fois long) relais effectué au petit matin fut nettement plus probant. Au cours de ce long relais (plus de 2 heures 10…), j’ai ainsi « arsouillé » avec 4 des 5 pilotes de l’équipe « Hobby 2000 », nos principaux et seuls challengers à partir de la mi-course… Notre voiture (comme d’autres d’ailleurs je crois) était alors heureusement devenue plus agréable après divers ajustements dans les règlages afin de la rendre à nouveau plus progressive.
Les tresses ont également beaucoup souffert sur cette piste, nécessitant de multiples entretiens et changements de guide.
Au risque de passer pour un triste, j’ai également trouvé ces GT peu à leur place sur ce tracé très tortueux. Malgé une plus « modeste » cinquième place et de multiples ennuis, j’avais gardé de meilleurs souvenirs de l’an dernier avec les « classic 1967 » plus hautes, plus courtes et dotées de pneus slot-it moins « adhérents ». Ca n’allait sans doute pas plus vite mais c’était plus progressif.
Pour le reste, l’accueil des multiples bénévoles du club de Neuvic est demeuré exceptionnel. Tout comme l’an dernier, il a encore fait très (trop…) chaud le samedi. Cela s’est heureusement amélioré le dimanche après une nuit orageuse (climatiquement parlant…).
Autres anecdotes en vrac :
-Les superbes et très amusants dessins des caricaturistes présents
-Les très belles prestations des équipes belges. Ce fut longtemps « 2-3-4-5 » et c’est tout de même un très probant « 2-3-4-6 ».
-La « bourriche » ( de produits à base de canard) proposée en tombola à longueur de 24 heures avec l’un des accents les plus représentatifs du sud ouest (ceux qui étaient présents savent de quoi il est question…)
-Arrivée et retour « peinard » en musardant à travers la France par le chemin des écoliers (en vrac, Périgord, Limousin, Pays de Loire,…)
-Ambiance dans l’hotel le soir du (très beau) match « France – Espagne » avec tout le bâtiment qui vibrait et mugissait à chaque occasion et à chaque but. Ca m’a un peu rappelé la finale de 1998 également vécue dans un hôtel français.
-Un petit détour par Paris et par Slot&Go. Boutique vaste et très bien agencée, bon accueil et quelques trouvailles (dont l’Aston SCX encore tristement indisponible en Belgique…)
Comme la plupart des équipes nous avons été quelque peu et surtout déstabilisés par le grip des pneus. Une fois leur rodage terminé (après une bonne heure de course ?), ces pneus sont devenus hyper performants rendant dès lors les voitures « sous vireuses » (l’avant sortait trop facilement dans les divers virages serrés de cette piste), un cauchemar semble t’il pour beaucoup de concurrents présents (y compris plusieurs pilotes Davic pas trop à l’aise au milieu de la nuit ?) et pour moi-même plus particulièrement (j’ai horreur de ça car ça tue l’essentiel du plaisir du pilotage…). Mes deux premiers relais (dont le deuxième que j’ai préférer abréger après à peine 15 ou 20 minutes tellement c’était nul) furent ainsi pénibles et sans plaisir aucun. Après quatre heures de sommeil (une première pour moi dans un double tour d’horloge…), mon (cette fois long) relais effectué au petit matin fut nettement plus probant. Au cours de ce long relais (plus de 2 heures 10…), j’ai ainsi « arsouillé » avec 4 des 5 pilotes de l’équipe « Hobby 2000 », nos principaux et seuls challengers à partir de la mi-course… Notre voiture (comme d’autres d’ailleurs je crois) était alors heureusement devenue plus agréable après divers ajustements dans les règlages afin de la rendre à nouveau plus progressive.
Les tresses ont également beaucoup souffert sur cette piste, nécessitant de multiples entretiens et changements de guide.
Au risque de passer pour un triste, j’ai également trouvé ces GT peu à leur place sur ce tracé très tortueux. Malgé une plus « modeste » cinquième place et de multiples ennuis, j’avais gardé de meilleurs souvenirs de l’an dernier avec les « classic 1967 » plus hautes, plus courtes et dotées de pneus slot-it moins « adhérents ». Ca n’allait sans doute pas plus vite mais c’était plus progressif.
Pour le reste, l’accueil des multiples bénévoles du club de Neuvic est demeuré exceptionnel. Tout comme l’an dernier, il a encore fait très (trop…) chaud le samedi. Cela s’est heureusement amélioré le dimanche après une nuit orageuse (climatiquement parlant…).
Autres anecdotes en vrac :
-Les superbes et très amusants dessins des caricaturistes présents
-Les très belles prestations des équipes belges. Ce fut longtemps « 2-3-4-5 » et c’est tout de même un très probant « 2-3-4-6 ».
-La « bourriche » ( de produits à base de canard) proposée en tombola à longueur de 24 heures avec l’un des accents les plus représentatifs du sud ouest (ceux qui étaient présents savent de quoi il est question…)
-Arrivée et retour « peinard » en musardant à travers la France par le chemin des écoliers (en vrac, Périgord, Limousin, Pays de Loire,…)
-Ambiance dans l’hotel le soir du (très beau) match « France – Espagne » avec tout le bâtiment qui vibrait et mugissait à chaque occasion et à chaque but. Ca m’a un peu rappelé la finale de 1998 également vécue dans un hôtel français.
-Un petit détour par Paris et par Slot&Go. Boutique vaste et très bien agencée, bon accueil et quelques trouvailles (dont l’Aston SCX encore tristement indisponible en Belgique…)